Souvent, la séparation ne naît pas d’un grand fracas, mais d’un lent effritement, d’un glissement imperceptible. Le couple, jadis porteur d’espérance, devient un paysage familier mais froid.
Tu te lèves un matin avec ce poids : “et si c’était fini ?”
Mais avant de prendre une décision irréversible, il y a ce besoin vital de regarder, de sentir, de nommer ce qui se joue.