Souvent, la séparation ne naît pas d’un grand fracas, mais d’un lent effritement, d’un glissement imperceptible. Le couple, jadis porteur d’espérance, devient un paysage familier mais froid.
Tu te lèves un matin avec ce poids : “et si c’était fini ?”
Mais avant de prendre une décision irréversible, il y a ce besoin vital de regarder, de sentir, de nommer ce qui se joue.
Un regard qui s’attarde, et l’on se sent soudain vivant.
Un regard qui se détourne, et l’on disparaît.
Dans la vie et dans le couple, le regard de l’autre n’est jamais neutre : il peut révéler, confirmer ou fragiliser notre image de soi.
comment ce regard nous façonne-t-il ? Et comment trouver l’équilibre entre le regard de soi et celui de l’autre, pour nourrir confiance, désir et intimité ?